Il est difficile de trouver de nos jours un bon valet ou une soubrette parfaite pour faire le service à table.

J’ai, grâce à la magie du BDSM, fait un bon dans le passé, au XVIIe siècle.
J’ai rencontré un couple, la femme est soumise, l’homme voyeur et ils ont pour fantasme de servir et d’être utilisés lors d’un repas au temps des seigneurs...

À la demande de ma Princesse qui a une libido qu’elle a du mal à contrôler, j’ai organisé un voyage au XVIIe siècle.

Elle a toujours rêvé d’être une grande Dame et être au centre de l’attention de tous dans un repas chic. J’ai invité pour un repas de fête, deux nobles seigneurs d’une province voisine pour goûters les fruits de mon terroir.

Ma princesse m’aide à organiser et à décorer. J’ai réaménagé mon salon pour qu’il puisse avoir un air du XVIIe et nous avons trouvé des tenues dans le style de l’époque.
Nous avons modifié nos attitudes, notre langage pour mous immerger dans cette époque et rendre le fantasme plus fort et réaliste.

Le valet est cuisinier également, son épouse, soubrette et aide-cuisinière. Ils sont venus la veille et on a préparé ensemble le repas.
On a discuté, fixé les limites, préparé notre saut dans le temps.
Princesse est tellement impatiente qu’elle veut déjà commencer maintenant et accapare la servante et le valet et les utilise pour son plaisir.
Je me retrouve à finir les préparatifs seul...

Le grand Jour

Nous avons fait un bon dans le temps et dans l’espace !
Par la magie du BDSM nous sommes au XVII dans une seigneurie 100 ans avant la naissance du marquis de Sade !
Nous sommes des précurseurs !

Après une nuit mouvementée, on finit les derniers préparatifs, chacun met sa tenue et on attend l’arrivée des deux seigneurs invités.
Les serviteurs portent la tenue que je leur ai choisie, l’homme est nu et porte un tablier noir avec une ceinture en dentelle blanche.
La femme est nue, à peine vêtue par une tenue de soubrette, fesse et seins nus, noir avec de la dentelle blanche, des bas filets, une coiffe de soubrette, un bâillon.

Les invités arrivent, nous passions au petit salon.

Le petit salon

Tout d’abord, nous allons prendre apéritif et amuse-gueule au petit salon

La soubrette se met à 4 pattes nue, une assiette d’amuse-gueule est placée sur son dos. Les invités sont assis en cercle autour d’elle. Le valet vient leur proposer un assortiment de vibros, suceurs, vibreurs... Chacun choisit selon ses goûts et à tour de rôle ou en même temps les utilise sur l’infortunée soubrette qui ne doit pas bouger, pas gémir, pas jouir ! Quelles que soient les caresses, les actes sexuels, la soubrette doit rester immobile et ne rien renverser. Si elle bouge, elle aura une fessée ou une punition tirée au hasard. Elle est restée stoïque, immobile, mais au bout de 1O min elle a commencée à entrer dans un état second, en extase, les yeux révulsé, en gémissant, en haletant... puis elle c’est mis à devenir fontaine en criant, en tremblant, en renversant l’assiette de gâteau... Nous l’avons caressée doucement pour lui faire reprendre ses esprits... Maîtresse a tiré la punition au hasard. Elle devra servir avec des chaînes au pied, une chaîne qui part du collier aux mains, une chaîne qui part de la taille aux pieds. Elle devra servir en évitant de faire cliqueter les chaînes... Cela a beaucoup excité Princesse qui offre une divine fellation a chacun des seigneurs tout en demandant au valet de la baiser en même temps.

Le grand salon

Nous mangeons sur une table en bois massif ornée d’une vaisselle d’apparat, de bougeoirs...
Le valet sert les boissons, apéritifs, vins, eaux, cafés... et remplace la soubrette au service des plats si elle sert sexuellement.

Les règles de service sont simples :

La soumise et le valet se tiennent en position d’attente et guettent un signe pour servir. J’ai trois clochettes, une grosse pour appeler la soubrette pour un service sexuel, une petite au son clair pour le service des plats, une avec un son cristallin pour le service des boissons.
La soubrette ou le valet font le service avec un plateau, tête baissée, en silence.
Ils doivent toujours servir à droite et desservir à gauche, e servir en premier, les autres seigneurs ensuite, sauf consignes spéciales.

Si la soubrette est caressée par un seigneur, elle doit ouvrir les jambes, se laisser faire et faciliter son action sans rien dire. Elle doit rester passive en me regardant, tête baissée. Idem pour le valet.

En aucun cas la soubrette ou le valet ne doivent bouger ou renverser le plateau ou son contenu. En cas de dégâts, une punition avec fessée, martinet sera appliqué.
Si je me désigne de l’index ou si je pointe un seigneur puis incline l’index vers le bas, la soubrette doit aller sous la table et sucer la personne désignée. Idem pour le valet qui devra faire de même à Princesse.

À partir des règles, il vous est facile d’imaginer le repas. Les invités font des joutes oratoires, chacun y va de bons mots d’esprits et le vainqueur gagne une fellation par la soubrette, une longue et experte fellation. Avant le repas, Maitresse et moi je lui ai expliqué comment elle devait faire et je lui ai enseigné pendant plus d’une heure plusieurs manières pour pratiquer des fellations intenses en utilisant uniquement ses lèvres, sa langue, sa gorge... Le vainqueur, mon invité d’honneur a été gâté et il a offert à son ami de partager sa fellation. La soubrette a été divine. Princesse a accaparé le valet qui a plusieurs fois a du a lécher sa chatte sous la table.
Princesse joue a chaque service avec le valet qui a du mal à rester immobile... elle utilise sa bouche, ses mains, caresse, griffe, suce, pince... mais il reste de marbre.

La croix

Mais, car ce sont toujours les mais et non les mets qui font toute la saveur de ce repas, la Soubrette a failli !
Un des invités qui a joué avec ses seins, avec les lèvres de son sexe, avec ses doigts, avec sa bouche... alors qu’elle s’offrait, jambe ouverte, plat de service en main a provoqué une vague de plaisir qu’elle n’a pas su contrôler et elle a renversé le plateau avec un fort bruit de chaîne. Aussitôt, le valet est venu nettoyer et a conduit son épouse soubrette à la croix. Il l’a attaché e comme il est responsable d’elle, il a été cherché les accessoires de sa punition. Elle a deux punitions, une pour avoir bougé, renversé le plateau, une pour le fort bruit de chaîne qui s’en ai suivi.
Il m’a tendu un plateau avec pinces à seins, pinces à linge. J’ai donc mis les pinces aux seins, puis j’ai mis des pinces à linge sur l’intérieur des bras jusqu’à l’aine, de chaque côté, chaque groupe de pinces étant relié par une cordelette. Je lui ai mis des pinces aux lèvres du sexe et j’ai joué dedans avec un vibromasseur, elle gémissait, se tortillait. J’ai tiré les cordelettes, faisant voler les pinces à linge, j’ai retiré les pinces à seins, je lui ai enlevé le bâillon et je lui ai demandé ce qu’elle ferait pour se faire pardonner. Elle a murmuré prenez moi par-derrière, emplissez ma bouche seigneur, je suis une vilaine fille et je m’offre pour votre plaisir, emplissez-moi de vos dards, de vos chibres mes seigneurs. Elle se mit à quatre pattes, j’enfonçais mon vit seigneurial dans sa gorge pendant que les deux autres seigneurs se relayaient sans répis au plus profond de son anus, Princesse participait avec sa langue, des jouets. Lorsque nous fûmes satisfaits, nous nous mîmes à table et soubrette reprises son service fiere d’avoir su nous combler pour se faire pardonner. Princesse soudainement se leva de table et demanda au valet de l’attacher au chevalet de bondage, yeux bandés et à demandée aux seigneurs de la prendre ainsi vigoureusement en double vaginal puis en anal, en dp vaginal et anal. Le valet et moi nous nous mîmes dans sa bouche. Nous commencions à manquer de vigueur et d’énergie et cela enrageait Princesse qui en voulait toujours plus ! Elle fut comblée et reprit sa place à table apaisée provisoirement.

Transe et Gangbang finals

À la fin du repas, soubrette vide et nettoie la table, puis monte sur la table, se met à 4 pattes. Les seigneurs, princesse ont à leurs dispositions tout un assortiment de jouets, de plug, de vibros... pour jouer avec la soubrette et la rendre fontaine. J’impose une nouvelle règle : lorsque la soubrette aura eu plusieurs orgasmes, il pourront la baiser dans l’orifice de leur choix autant de fois qu’ils veulent. Princesse en veut autant, sinon plus ! Elle le fait savoir. Elle participera donc au gang bang final au côté de Soubrette. Je fais durer le plaisir... Soubrette orgasme plusieurs fois et entre de nouveau en transe. On arrête, range les jouets, on la câline, elle reprend conscience, on fait une petite pause.

Princesse et Soubrette vont prendre une douche ensemble, elles se câlinent, se caressent, s’embrassent... c’est beau à voir...

Valet nous sert un café, un pousse-café, quelques friandises, il est prévenant et devine toujours nos envies.

Une fois reposé, le gang bang débute. Princesse et soubrette commencent par des caresses et un 69. Chaque seigneur se place derrière l’une d’elle et la baise pendant le 69 ! C’est beau à voir, le valet et moi regardons.
Puis le 69 cesse, chacune accapare deux hommes, volant parfois un troisième à l’autre... ce fut torride... Le valet et mari voyeur est toujours prévenant, en plus de participer, il fournit en lubrifiant, préparant les condoms, nettoyant les jouets, essuyant le sperme, la sueur...
Ce fut un beau un gang bang avec double pénétration ou chacun, très excité par la soirée c’est donné à fond pour apporter le maximum de plaisir à la soubrette et à Princesse !

Une fois fini, pour féliciter la soubrette pour son service exemplaire, je l’ai libérée de son service et je lui ai offert de l’anoblir.
Elle a enlevé sa tenue de soubrette, mis une petite robe très sexy et m’a demandé comme faveur de libérer son conjoint de son service.
J’ai accepté, il c’est changé et nous sommes passés dans le boudoir ou pour nous remercier, l’ancien valet nous a offert son épouse, mais il était tard, nous étions vidés et les deux seigneurs invités avaient des obligations et ont devaient partir.

BBQ naturiste et libertin

Comme il faisait beau et chaud, j’ai proposé de préparer un BBQ naturiste et libertin.

Nous sommes repartis au XXIe siècle, nous avons retrouvé notre vie ordinaire, Princesse est partie se coucher et nous avons fini la soirée à discuter autour d’un feu de joie et à imaginer de nouveaux scénarios excitants... dans d’autres espaces-temps.

Cela a réveillé la libido de madame et je l’ai regardée faire plaisir à son mari, tendrement au clair de lune.

Ils étaient trop fatigués pour prendre la route, ils ont dormi chez moi.
Le matin, pour les remercier de l’excellente journée d’hier, je leur ai servi leur petit déjeuné !

Ils ont adoré, on se reverra, comme ils viennent de loin, ils viendront plus longtemps la prochaine fois.