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Torture des tétons et des lèvres vaginales
Article mis en ligne le 4 janvier 2022
dernière modification le 6 janvier 2022

par ulysse
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En BDSM le mot torture est plus synonyme de plaisir que de douleur !

En effet lorsque l’on utilise la douleur, on la dose pour qu’elle libère des endorphines qui vont provoquer bien être, euphorie, une sensation de calme, de relaxation et amener au lâcher prise si recherchée. D’autres hormones entrent en jeu selon les actions du Dominant, comme la dopamine qui est appelée hormone du plaisir, la sérotonine qui offre plénitude et contentement, et l’ocytocine est crée par le renforcement du lien et de la confiance avec le Maître est aussi nommée l’hormone de l’attachement ou de l’amour !

Lors de la séance, la soumise voit son état de conscience est modifié, elle perd la notion du lieu, du temps et entre dans un monde fantastique de plaisirs et de sensations nouvelles.

Si le Maître joue correctement avec la douleur, le plaisir et l’émotivité de la soumise les sécrétions d’hormones vont amplifier la force des jouissances, des orgasmes sexuels provoquant des extases et des feux d’artifice orgasmiques incroyablement intenses et bons ! On appelle cette extase le subspace.

Le plus incroyable est que le Maître lui-même en établissant un lien étroit et fusionnel avec la soumise va, entrer en topspace. L’Empathie, le sentiment de possession et de contrôle vont libérer chez le Maître également des hormones qui vont lui provoquer un bien être important proche du subspace. Mais en tout temps, le Maître doit garder la tête froide et être en contrôle pour assurer la sécurité de la soumise. Dans mon cas, c’est lors de la séance de décompression et de câlins qui suit la pratique BDSM que je me laisse aller à vivre le topspace.

ATTENTION

N’oublions pas que c’est la soumise qui prend les risques et qu’elle va vivre ensuite toute sa vie avec les conséquences des actes posées par le Maître. La majorité des Maîtres se défileront dès que la soumise “ne sera plus en état”… La soumise doit se soucier de sa santé et stopper tout si le Maître est irresponsable et qu’il prend des risques, ce qui n’est pas facile à cause de l’ascendant du Maître sur la soumise. Les mots de sécurité sont là pour ça.

En BDSM DOUX, on obtient des sensations intenses sans mettre en danger sa partenaire, les pratiques ci-dessus sont faites dans cette optique.

La torture des seins

En associant la douleur et le plaisir, la torture des tétons est un classique du BDSM. Le Kamasutra considérait cela comme un jeu érotique qui vise à rendre douloureux les seins pour le plaisir du dominant et du dominé.
La soumise prend plaisir à souffrir physiquement grâce à une libération d’endorphines. Le plaisir est également psychologique. Être psychologiquement contrôlé, voir le partenaire prendre du plaisir à contrôler ou à être contrôlé augmente le plaisir.

Certains considèrent la torture des seins comme une punition que le dominant inflige à la soumise suite à une mauvaise conduite, pour d’autres c’est une pratique BDSM source de plaisirs extrêmes. Cette pratique peut être faite avec le bondage des seins.

On peut utiliser sur les seins la cire ou roulette de Wartenberg mais le travail des seins se fait le plus souvent avec des pinces.

Avec des pinces

Certains tétons sont trop petits pour recevoir des pinces. Il faut les tirer, les titiller pour les faire gonfler et prendre du volume. La pince doit être posée au milieu du téton, ni trop haut, ni trop bas. Une fois les pinces posées, vous pouvez tirer dessus, mettre des poids, les attacher au collier...

La douleur commencera lors du retrait des pinces par le retour du sang dans le mamelon. Plus la circulation sanguine aura été coupée longtemps, plus la douleur sera forte et longue. Vous pouvez après avoir retiré les pinces, pincer les mamelons, les caresser... pour augmenter la douleur et les masser pour refaire circuler le sang.

Il existe plusieurs sortes de pinces :

  • Celle avec des embouts en caoutchouc ou plastique qui limitent la douleur du pincement.
  • Celle avec des petites dents style pince croco, à éviter, car elles peuvent être blessante et coupantes
  • Celles avec des embouts en caoutchouc ou plastique et une molette de réglage qui permettent de limiter la force du pincement.
  • Celle avec des embouts en caoutchouc ou plastique et molette une molette de réglage qui augmente au contraire la force du pincement.
  • Avec des pinces à linge ordinaire, en plastique.
  • Les pinces japonaises, de qualité inégale, faciles à poser et à enlever, mais souvent très douloureuses, car elles pincent fort.

Pour débuter il faut choisir les pinces avec embout protecteur et une molette de réglage afin de doser la douleur ou utilise des pinces à linge ordinaire en plastique non blessantes et ne pas dépasser 10 à 15 mn.

Précautions, vérification et hygiène

  • L’utilisation de pinces à seins comporte des risques.
  • Il faut vérifier que les pinces ne bougent pas surtout si elles ont des poids, le risque et d’arracher le bout du téton.
  • Il faut vérifier la circulation sanguine et toute décoloration de la peau, le blanchiment indique un manque de sang important dans les tissus, une couleur violacée soutenue indique une stagnation trop intense du sang dans les tissus. Si la circulation sanguine est trop limitée ou stoppée, cela peut avoir des conséquences irrémédiables et provoquer des blessures graves.
  • Les pinces peuvent laisser des marques qui durent plusieurs heures, voire jours si elles ont été laissées trop longtemps ou si elles serrent trop fort.
  • Les pinces doivent être nettoyées après usage et avec certains modèles ce n’est pas toujours facile.
  • Vérifiez la force de pincement des pinces avant usage, deux pinces qui paraissent identiques peuvent avoir des forces de serrage différentes.
  • Vérifiez que les dents de la pince ne soient pas coupantes ou blessantes.

Autres pratiques

Les claques sur les seins, la cravache, la canne (attention aux tétons) provoquent des risques de bleus importants. Le sein n’est protégé par aucun muscle, il reçoit en totalité le coup donné. Si on l’allonge avec force, il tombera et une poitrine de 20 /30 ans tombera comme si elle avait 80 ans ! Les coups, les pincements engendrent des traumatismes … Il faut donc être prudent, ne pas frapper fort et bien surveiller le sein. Ne faites rien d’extrême pour éviter les déchirements internes… Si une soumise a des tumeurs qu’elle ignore, être brutal peut les éclater et les conséquences seront graves.

On peut lors d’un bondage pincer régulièrement les tétons et observer les réactions : si la douleur disparaît, il y a perte de sensibilité, il faut cesser l’activité. Il faut faire attention aux colorations violettes / noires.
Le bondage des seins ne doit pas être serré et bref. Le bondage esthétique qui ne comprime pas les seins est sans risques.

Comme je pratique un BDSM doux et avec un minimum de risques, j’ai banni les pratiques d’aiguilles, de bondage serré du sein, les coups sur les seins... et toute autre pratique dangereuse.

La torture des lèvres du sexe

Elle se fait avec des pinces à linge ou avec des pinces à sein avec des embouts en caoutchouc ou plastique qui limitent la douleur du pincement. Pour un maximum de sensations, la soumise doit être attachée, yeux bandés, jambes attachés écartées pour faciliter la pose des pinces et l’empêcher de resserrer les jambes.

Les pinces sont posées sur les lèvres du sexe. Le principe et les précautions sont identiques aux tortures des tétons. C’est au retrait des pinces que les douleurs sont les plus vives.

Avec un vibromasseur, avec les doigts, il est conseillé de jouer avec le sexe, le clitoris, pendant le temps ou les pinces sont en place. Le plaisir est décuplé.

Une fois les pinces enlevées, au moment ou la douleur est vive, il faut masser les lèvres pour rétablir la circulation, augmenter les sensations... et très souvent rendre fontaine la soumise qui va connaître des orgasmes en cascade...

Précautions

  • Il faut utiliser des pinces non blessantes, sans petites dents, de manière à ce que si elles glissent, si elles bougent, elles ne blessent pas les muqueuses, des pinces à linge sont parfaites.
  • Il faut veiller à ce qu’elle ne glisse pas, regarder la couleur de la peau, des muqueuses.
  • Il faut être précautionneux quand on passe le vibro pour ne pas déplacer les pinces.
  • Il ne faut pas les laisser longtemps et bien surveiller les décolorations ou l’apparition de couleurs des muqueuses ou de la peau indiquant un problème.
Pinces à téton japonaise
Pinces à téton réglable
Écarteur de lèvres vaginales
Pinces à téton avec poids
Cloche pour tirer les tétons

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